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Carte blanche aux traducteurs François-Michel Durazzo et Claude Fell

Publié le 10 septembre 2009 par Slal

Paris, septembre 2009
Carte blanche aux traducteurs François-Michel Durazzo et Claude Fell pour animer une discussion à partir des romans La Ville absente de Ricardo Piglia (Argentine) et Contrebande d'Enrique Serpa (Cuba).

Le mercredi 30 septembre • à partir de 19 h
à la Maison de l'Amérique latine
217, boulevard Saint-Germain • Paris 7e
Avec Edouardo Manet, Claude Couffon, Françoise Moulin-Civil, Teresa Orecchia Havas...


Ricardo Piglia
envoyé par Alexandre de Nunez

Le gaucho invisible, la petite fille rousse, la jeune fille muette… Mais aussi Mac Kensey, qui a reconstruit son cottage en Patagonie et vit suspendu aux ondes de la BBC, un professeur hongrois spécialiste du Martín Fierro incapable d'apprendre l'espagnol, la danseuse du Majestic folle d'un gangster coréen. Autant d'histoires auxquelles se mêlent des personnages historiques tels Macedonio Fernández ou Evita Perón, qui naissent, se modifient à l'infini et s'enchevêtrent autour d'Elena, être étrange, mi-femme, mi-machine. Dans ce roman aux multiples récits, chacun tente d'échapper à ses obsessions, celles qui traversent toute l'œuvre de Ricardo Piglia – au cœur du langage et du temps.
Carte blanche aux traducteurs François-Michel Durazzo et Claude Fell
Traduction de l'espagnol (Argentine) par François-Michel Durazzo.
Premier roman d'Enrique Serpa, Contrebande dépeint à merveille le monde turbulent et misérable de La Havane dans les années vingt. À travers l'agitation d'une foule de pêcheurs, prostituées, contrebandiers, enfants miséreux, on voit couver le feu qui embrasera l'île de Cuba où l'insolente fortune de quelques-uns nargue l'extrême dénuement de la plupart.

Contrebande, c'est aussi l'histoire d'un face-à-face entre le propriétaire de La Buena Ventura et Requin, le capitaine de bord, homme d'honneur et pirate à ses heures. S'instaure vite une atmosphère complexe, ambigüe, faite de mépris et de domination sur fond de fascination.

Publié en 1938, constamment réédité, Contrabando est considéré comme un classique de la littérature cubaine contemporaine.
Carte blanche aux traducteurs François-Michel Durazzo et Claude Fell
Traduit de l'espagnol (Cuba) par Claude Fell. Présenté par Eduardo Manet.
Les éditions Zulma et le Le dernier lecteur de Ricardo Piglia.


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