Il serait exagéré de dire Martin Parr "au" Jeu de Paume, car en définitive cette exposition est prétexte à présenter son univers et ses influences, une partie de sa collection, des objets et des livres, et en définitive très peu de photos dudit photographe. Assez déçue pour ma part de ne voir que ses quelques œuvres récentes - notamment la série "Luxury" - qui s'approchent plus du vulgaire et du people que de l'instantané, du populaire et de la parfaite composition que pouvait avoir son travail dans les années 80/90. Finalement la meilleure partie de l'exposition de ses propres photos se trouve, à mon goût, dans le jardin des Tuileries, à l'extérieur. On se retrouve donc, en dedans du musée, à flâner parmi tout un tas de photos d'artistes plus ou moins connus, pour découvrir des photographes incroyables tels que Jem southam, Mark Power, ou encore Asako Naharashi. Une sorte de mini-fiac commanditée par Martin Parr lui-même.
Il serait exagéré de dire Martin Parr "au" Jeu de Paume, car en définitive cette exposition est prétexte à présenter son univers et ses influences, une partie de sa collection, des objets et des livres, et en définitive très peu de photos dudit photographe. Assez déçue pour ma part de ne voir que ses quelques œuvres récentes - notamment la série "Luxury" - qui s'approchent plus du vulgaire et du people que de l'instantané, du populaire et de la parfaite composition que pouvait avoir son travail dans les années 80/90. Finalement la meilleure partie de l'exposition de ses propres photos se trouve, à mon goût, dans le jardin des Tuileries, à l'extérieur. On se retrouve donc, en dedans du musée, à flâner parmi tout un tas de photos d'artistes plus ou moins connus, pour découvrir des photographes incroyables tels que Jem southam, Mark Power, ou encore Asako Naharashi. Une sorte de mini-fiac commanditée par Martin Parr lui-même.