Argument douteux : une pochette pareille ne pouvait enrober qu’un bon disque. Constatation, après une première écoute semi-attentive, pour un peu il n’y a pas de doute. Chose curieuse le quidam qui aurait eu l’étonnante velléité d’imaginer un éventuel sous-zappa nouvelle vague trouvera ici ce qu’il cherchait. Que du gnangnan, un genre d’espèce de must croquignolet (les lyrics !) avec Wilko Johnson en guest star (C’est vous dire si les riffs saignent plus qu’à Sétif).
Pour le reste vous pouvez consulter la note consacrée à Mick Farren chez wikimachin, je suis las sans être là et très peu inspiré ces temps ci.
Bien à vous.