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Appuyé nonchalamment SUR MA TROISIEME jambe ( pour les petit vicieux qui ont une bite ŕ la place du cerveau et dont les neurones flétries nagent dans une mer de sperme surie, en parlant de troisičme jambe ,j’entends par lŕ ma canne en bois, ok ? )  Une voix, soudain, me susurre :  Ť combien ? ť,moi pas sauvage pour un sou, vous me connaissez ,non ? je réponds :  Ť 62 ť , la créature me dit : Ť  trop cher ť , Ť je peux pas ť lui répondis-je  Ť descendre plus bas ,un chiffre est un chiffre, on n’y peut rien changer… ť Me retournant comme seul homme, un doute envahissant la seule neurone qui me sert ŕ réfléchir, derričre moi un vendeur ambulant, noir comme l’ébčne ŕ la dentition Email Diamant : Ť salaud ,  va ! ťil présente des babioles tout droit venues de chine ŕ des vacanciers venus eux de je ne sais oů ; bref, on a bien le droit de se tromper,, non ?Et la créature s’adressait ŕ lui, évidemment !

Quand tu as en face de toi une jeunette  carrossée comme une Ferrari trente balais pas  plus qui demande combien ? Tu fais du roue libre, sors les aérofreins ,mets les clignotants, allume le gyrophare, déploie  l’airbag entre les jambes ,mais bon on peut ręver, non ? Mon Amie qui lit mes textes va sűrement prendre un malin plaisir ŕ me peler comme un oignon et sans aucune larme ŕ l’œil ,me torturer jusqu’ŕ ce que j’avoue le nom de ma piégeuse,  vouloir connaître le numéro de son portable, son adresse, le nom du popa de la moman mais bon, dans la vie, il faut vivre dangereusement ,  non ?

Toujours devant la porte du restaurant ŕ fumer ma goldo, comme un pestiféré ŕ subir le regard des passants qui passent et qui ,pavés de bonnes intentions ,regrettent  souvent que les rues ne soient plus justement revętues de ces roches en silex tranchant qui leur permettraient, le cas échéant ,de te jeter leur premičre pierre, trouvent qu’ il y a des lois islamiques que l’on devrait appliquer : comme la  lapidation pour les fumeurs ,patience les amis, ça viendre,ça viendre !...

ŤZ’avez ť vu les tous petits en période estivale parmi les stands de bonbons , ceux des babioles qui s’éclairent en forme de hérisson ou autre jouet plastique ,ils doivent se reconnaître ŕ la sucette ou ŕ la morve qui leur sort du naze , des clones, je vous dis , j’en ai vu un qui courais aprčs son monstre ŕ éclair ,soudain, il se fige, regarde en face de lui que voit-il ? Je vous le donne en mille, qui a dit deux mille ? Deux mille ŕ ma droite qui dit mieux ? Madame ŕ ma gauche trois mille ? Bon, je vous le fais gratos, généreux le mec ,non ? Donc le futur mâle….

Comment je sais que c’est pas une pisseuse ? Hein ! Répondez les nazes, ŕ la couleur de la sucette pardine ,tiens ! Oh les incultes, donc le mecton s’arręte pile, regarde l’autre demi portion avec le męme jouet et décide de se l’approprier ,je vous dis pas la bataille de rue ,vas y que je te place un bourre pif en plein la tétine rose ,réplique de la future miss, coup de pied retourné dans les roubignolles amorti par la pampers  renforcée du vandamme des plages, un  Ť oisuki ťsavamment placé achčve le combat et le trublion ,un ŕ zéro pour la rose des sables .

Bon, m’en va encore observer les vacanciers et vous pondre une autre connerie intitulée (Les vacanciers) ŕ plus .

Orang-outan ,los-observator