« Je suis très excité. Voilà une belle occasion pour moi d’apprendre. Je profite de chacun de ces camps d’entraînement pour m’imprégner de l’ambiance de hockey à Montréal, et aussi pour m’inspirer des joueurs ayant plus d’expérience. Je sais que je peux jouer à ce niveau et j’essaierai à nouveau de le prouver à tout le monde. »« Il en reviendra à Bob Gainey et Jacques Martin de décider ce qu’il adviendra de l’équipe au cours des prochaines années. Je ne suis pas directeur-gérant et je ne veux pas faire leur travail. Tout ce que je peux faire, c’est attendre que l’occasion se présente. Comme mon père me dit toujours : ‘ Il ne faut pas attendre que l’occasion se présente, il faut être prêt lorsque ça arrive. ‘ »
« Mon but, depuis l’âge de quatre ans, est de jouer dans la LNH. Que ce soit cette année, l’an prochain ou dans quatre ans ne dépend pas de moi. Tout ce que je peux contrôler est la façon dont je joue, ce que j’apprends et comment je m’améliore de jour en jour. Je ne fixe pas l’objectif de faire l’équipe dès cette année, ou encore en fonction des trous possibles dans l’alignement. Je veux simplement devenir meilleur à tous les jours, en faisant ce que le personnel d’entraîneur veut de moi. »
« Je connais plusieurs joueurs. J’en ai affronté quelques-uns. Je sais que Gregory Stewart ne sera pas de ce camp, mais au camp principal. J’ai également joué contre Matt d’Agostini, Sergei Kostitsyn… Yannick Weber, également, lors de mes dernières années dans la Ligue de l’Ontario. C’est toujours bon de les revoir. Nous sommes comme une famille à l’extérieur de la glace. »
« Au hockey, nous sommes tous des frères. Les gars vont se rapprocher très rapidement. Avec Équipe Canada, l’an dernier, nous avons eu à peine quelques semaines pour faire connaissance. C’était une belle leçon de vie que d’apprendre à connaître des gens rapidement, autant sur leur façon de jouer qu’hors-glace. »
« Pendant toute ma carrière, j’ai eu à m’adapter à toutes sortes d’entraîneurs différents. Chaque équipe a son système et chaque joueur doit s’y conformer pour pouvoir continuer à évoluer. Je compare Jacques Martin à mon entraîneur junior; ils ont des façons de faire semblables. Je ne suis pas en position de juger de la façon dont un entraîneur travaille. C’est un excellent entraîneur et j’ai entendu beaucoup de bonnes choses sur ce qu’il a accompli. »