Malgré l’avis favorable de l’Agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA) les experts des 27 pays membres de l’Union européenne n’ont pas pu se mettre d’accord sur les conditions de mise en œuvre de cette autorisation d’une plante OGM qui pourrait être la première depuis 2004.
Le différent porte sur l’utilisation des résidus de fabrication pour l’alimentation du bétail alors que cette variété de pomme de terre, riche en amidon est destinée à des fins industriels, pour la fabrication de papier, de colles, de textiles et de matériaux de construction.
Le dernier mot reviendra, d’ici quelques mois, à la Commission.