« Vous pouvez découvrir des informations dont vous ignoriez qu'elles se trouvaient là. Il est important que ces livres [NdR : épuisés] ne soient pas délaissés. L'intérêt de Google est d'aider les gens à trouver des livres. » Ainsi, la mise en ligne sauvage et furieuse telle qu'elle a été pratiquée jusqu'à lors ne serait qu'une entreprise incomprise pour favoriser la connaissance et la culture pour tous.
C'est presque aussi beau, tant que l'on y est, que du Amazon qui accuse Google de tous les noms d'oiseaux pour justement cette situation de monopole.
Si James Gleick, auteur, a abondé dans le sens de Google, reste que les sceptiques sont plus nombreux. Et pour cause. Le risque monopolistique est une fois de plus pointé du doigt, alors que plusieurs pays européens, dont l'Allemagne, la France et dernièrement l'Italie se sont clairement prononcés contre le projet.