Get The Funk Up

Je sais. Encore un titre en anglais, piqué à une obscure chanson d’un nain (de Minneapolis, hein …), parlant d’une tafiole en collant qui se prend pour une chauve-souris et qui est MÊME PAS FICHU DE GARDER MICHELLE PFEIFFER.

Mais que voulez-vous ? Je n’ai pas d’imagination.

Enfin si, mais je préfère l’utiliser à me faire des films. Ou à imaginer ce que sera ma vie quand je ne m’en ferai plus.

Et puis, j’ai créé Cendrillaume … Ca force le respect ça quand même, hein ?

(pour ceux qui ne connaissent pas Cendrillaume, c’est une version de moi -je m’appelle Guillaume – à l’époque de ma première période d’avocat … ça racontait mes tentatives pour me taper ma secrétaire …)

Donc voilà.

Voilà voilà voilà.

Sinon, j’ai un aphte dans ma bouche et ça me fait très mal. Il s’est logé à droite de ma lèvre supérieure, juste à la frontière entre le dehors et le dedans. Donc, je vais chialer ma race toute la semaine.

Je ne sais pas pourquoi j’écris cette note en fait … je ne sais même pas ce que je vais y mettre dedans.

Je pourrais vous parler de ce procès que j’ai gagné la semaine dernière, alors que j’aurais dû le perdre, et ainsi instiller subtilement dans votre esprit l’idée selon laquelle je serais un excellent avocat …

Ou vous parler de la brune aux yeux bleus que j’ai expédié en 5 minutes, alors que mes précédents rendez-vous avec elle duraient au moins une demi heure …

…

Tiens, je viens de m’apercevoir que sur WordPress, il y a une fonctionnalité qui permet de compter le nombre de mots qu’on a tapés.

…

Passionnant, hein ?

En fait, vous êtes en train de vivre en direct mon ennui du soir. Ou plutôt la flemme que j’ai de regarder une vidéo de théorie musicale, qui me ferait pourtant grand bien … Un truc sur le cycle des quintes, qui me permettra de faire de la musique encore mieux et, qui sait, de terminer mon projet en cours (depuis 2 ans) : faire ma version de la musique de Phantom of the Paradise, de Brian de Palma …

Ah la la … tout de suite, ça fait très inrockuptiblable, hein ?

Je vais m’arrêter là pour ce soir et je reviendrai écrire quand j’aurai encore moins à dire.

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