"Riches de Loire Atlantique, levez vous !"

Dans un article du site Maville.com, on apprend que la magazine "Bretons" a rédigé un dossier sur la géographie économique de la Bretagne. Et partant du principe que la Loire Atlantique est l’un des 5 pays de la Bretagne, l’économie du 44 est passée au cribble...

Le magazine Bretons, qui couvre les cinq départements de la Bretagne historique (donc la Loire-Atlantique), ajoute une corde à son arc avec un hors-série consacré à l’économie bretonne. La démarche : « Comprendre la Bretagne grâce à son économie », explique son rédacteur en chef, Didier Le Corre. Article du 03/09/09

Vous l’aurez remarqué, le magazine et cet article ne s’embêtent pas de la non affiliation administrative du 44 à la Bretagne... Si l’on se base sur la présentation de la Loire Atlantique sur Wikipedia, tout est clair :

La Loire-Atlantique (Loère-Atlantiqe en gallo, Liger Atlantel en breton) est un département français nommé d’après la Loire, principal fleuve qui le traverse avant d’y déboucher dans la mer par un estuaire, et l’océan Atlantique, qui le borde à l’ouest. Créé en 1790 sous le nom de Loire-Inférieure, il conserva cette appellation jusqu’en 1957. Il porte le numéro 44 dans la numérotation départementale française.

Son chef-lieu est Nantes, également préfecture de la région Pays de la Loire.
La Loire-Atlantique est l’un des cinq départements de la Bretagne historique ; sa langue traditionnelle était le gallo, comme dans toute la Haute-Bretagne ; cependant, dans la région de Guérande à l’ouest du département, le breton a été parlé jusqu’à une date récente.

Et moi, cela me convient ! Continuons...

Si on observe les chiffres régionaux, macro-économiquement, on voit que

 La Loire-Atlantique arrive en seconde position, juste derrière l’Ille-et-Vilaine.
grandes villes bretonnes pour l’impôt sur la fortune ISF avec 2,21 % des contribuables assujettis (3 553 redevables), mais devant Rennes.
maiset/?Riches-de-Loire-Atlantique-levez" alt="-" /> Le bassin nantais (Vertou, Orvault, Carquefou) truste les premières places pour le revenu moyen des villes. Nantes, elle-même (1 864 € de revenu moyen) est en tête des villes bretonnes de plus de 50 000 habitants.

Pour ce qui est des chiffres plus locaux :

 Les plus hauts revenus se trouvent en périphérie nantaise : Sucé-sur-Erdre et  Les communes les plus pauvres se retrouvent dans le nord du département. Au Petit-Auverné, à Treffieux, Soulvache,

Alors ? L’aménagement du territoire ? On y passe quand ? Parce" qu’en plus d’avoir la particularité d’être en zone plutôt pauvre, c’est aussi une zone mal desservie par les voies de transport, ne facilitant pas la mobilité et donc, l’économie. En attendant la ligne Nantes / Châteaubriant ...