Leon Ware, Achromate et Moi

C’est Lui :

Pourquoi est ce que j’en parle ??

Parce que je viens de le découvrir. Mieux vaut tard que jamais, isn’t it ??

A qui la faute ?

A Achromate. Dont je viens de libérer un commentaire qui était rangé dans mes indésirables. Je n’en tirerai aucune conclusion. Non. L’individu n’en a que trop l’habitude. De mes théories à l’emporte-pièce. De mes interprétations. De mes délires. Il est patient. L’homme. Ne dites surtout pas qu’il est blasé ou intolérant. Il me tuerait. Il n’est pas blogueur. Il est ailleurs. Un peu dans la lune, beaucoup dans ses livres et un peu avec nous, humains.

D’ailleurs. Il va surement me coller un procès pour diffamation. Oui. Faut dire que je ne lui ai pas demandé l’autorisation. Ecrire un post ”sur” lui avec Léon en fond sonore, je l’en remercie. Parce que Léon fait du bien à mes oreilles et à mon coeur. A mon âme perdue dans cette vie professionnelle qui me rend malade.

Léon ware a une page Wiki qui se trouve ici mais tout est en anglais et je suis juste nulle in english … me faudrait des cours. Quelqu’un voudrait bien me faire la conversation ? Sans me juger ni se moquer de moi ? En vous remerciant.

Léon a aussi un site officiel bien agréale à visiter et à écouter. Un site digne de ce nom. Avec une jolie bio et disco. Une galerie Photo presque intimiste.

En fait, je ne suis pas vraiment là ce soir.

Suis déçue. Tellement déçue. De travailler avec si peu de moyens humains. Parfois j’aimerais vraiment être WonderWoman ou SuperJamie. Enfin une super héroïne qui arrive à être au four, au moulin, sur le trottoir et derrière la caisse. En fait, c’est frustrant de n’être qu’humain. Biensûr je continue de perdre mes cheveux, de manger un peu n’importe quoi, de perdre patience et confiance, de stresser, de chercher à gagner du temps, de penser à demain jamais à aujourd’hui parce qu’aujourd’hui je perds pied et parce que j’espère que demain sera bien meilleur. Je passe mon temps à me coller le doigt dans l’oeil et à le triturer jusqu’au coude. Je passe mon temps à y croire. Biensûr, je pourrai quitter ce job comme j’ai quitté les autres. Seulement, cette année, suis looseuse et j’ai du mal à joindre les deux bouts. Comme beauoup. Certes. Et puis c’est indécent de parler d’argent ici. Alors je dirai juste que je suis fatiguée et que je rêve d’un ailleurs meilleur, doux, gourmand, riche. On croit toujours que l’herbe est plus verte chez le voisin, c’est ça ?

Ce billet est complètement décousu. Je le relirai. Un jour. Surement. Comme tous les autres.

Rockin You eternally - Leon Ware :