Samedi matin
Départ pour la Corse après avoir fait les dernières machines.
Une appréhension tout de même pour mon 2° voyage en avion.
Ce fut très court, facile, mais c’est à croire que la tête ne supporte pas les voyages en altitude. Elle est lourde, impossible de baisser les yeux sans être prise de vertiges.
Enfin, pas grave.
A notre arrivée, nous avons été accueillis par un collègue de mon homme qui se marie le 29. C’est lui qui nous prête une voiture nous permettant de nous déplacer cette semaine. Il nous a emmené chez lui à Moriani, le temps de nous désaltérer, de discuter, de nous changer. Direction la plage. La mer est belle, chaude. Dommage pour moi, je n’ai pas pu me baigner entièrement. Sûrement en milieu de semaine.
A ce qu’il paraît, la Corse est emplie de touristes.
Même après le 15 août, ils n’avaient jamais vu ça. Donc, les Français ne sont pas partis à l’étranger cette année mais découvrent tout comme moi ou reviennent, l’Ile de Beauté. Il y a aussi beaucoup d’étrangers.
Nous partons par une petite route en lacets,
nous accédons à l’hôtel à San Giovanni de Moriani. Auberge hôtel où personne n’est là pour nous accueillir pour il n’est pas tout à fait 18 heures. Nous sommes très déçus par E Catarelle, par sa petite chambre pour 3, la petite salle de bain. Repas commun pour tout le monde le soir à partir de 21 heures, le petit déjeuner se fait à partir de 9 heures. Sachant que la première chose que je fais le matin est de petit-déjeuner, c’est plus que tard pour moi.
Une bonne douche pour tous les 3 et nous partons pour Cervione où a lieu la fête de la noisette. Cervione est un petit village tout en hauteur. Ce soir-là, il y a énormément de monde. Le peu de restaurants ouverts affichent tous complets.
Nous redescendons sur Moriani où nous dînons au Lampione. Très bon restaurant traditionnel mais malheureusement je n’ai pas très faim.
Nous retournons à l’hôtel. En chemin, nous rencontrons des Néerlandais qui sont perdus pour accéder à l’hôtel, très difficile à trouver, surtout tard le soir. Ils nous suivent et se débrouillent pour trouver leurs chambres puisqu’il n’y a personne.
Une très mauvaise nuit, pas assez de coussins, odeurs vieillottes, machine à laver faisant un boucan d’enfer (elle est située juste derrière le mur de notre chambre – vu le lendemain) en plein nuit. Pas reposant du tout.
Bref, la suite plus tard, car il faut que je m’occupe d’insérer des photos dans l’article.