Et pourtant.
Enfin le 1er septembre ! Le mois d'ao�t est fini, enfin ! Voilא ce que je pensais m'exclamer, sans doute (d'ao�t) aucun et plutפt deux fois qu'une, lorsque je me projetais un mois en avant, il y a de cela un mois (ayי, quota de mois atteint. Pas si compliquי, finalement).
Je n'ai jamais aimי ao�t. Mךme quand il m'a semblי que si eh bien, avec le recul... non. Nausיeuses sensations, comme un dimanche qui n'en finirait pas. Vacances ou travail, soleil ou pluie, peu importe, la seule pensיe de son existence fait surgir en moi (au niveau du petit mais יpais bedon) cette boule que je ne connais que trop.
Et pourtant... - interlude musical : pourtant, je n'ai-aimeux que toi et pourtant, pourtant, je n'ai-aimeux que toi ! - fin de l'interlude musical - quand je songe au mois d'ao�t qui vient de s'achever... l'יtait quand mךme bien... l'יtait quand mךme chouette... on n'y retournera pas... comme חa en tout cas.
La boule du bedon revient, et je hais un peu plus les prochains.