Juste pour sourire à la veilles de la rentrée scolaire.
Mesdames Charlotte de Turkein, Laurence Boccolini, Valérie Damidot symboles de la forme féminine de chef d'établissements scolaires pour les producteurs de série télévisée.
Dernièrement une Isabelle Adjani soufflées aux cortisones pour incarner un enseignant psychotique.
Pourquoi ces profils de femmes fortes plutôt que des silhouettes effilées?
Je ne sais ce qu'en pensent les vrais professionnelles de la mission, mais il me semble y voir quelque réminiscence des complexes d'adolescents face à l'autorité scolaire, voir un règlement de compte sournois avec cette institution qui ne leur a peut-être pas apporté tout le bonheur qu'il y attendaient.
Un sujet pour un futur thésard?