Après Ouessant l'autre jour, nous continuons à la manière de thalassa (mais c'est moins loin qu'au tibet... pour les finances de la raie d'action) notre promenade dans les iles qu'elles sont bretonnes, et Philippe qui n'en rate jamais une pour se faire des histoires, nous envoie les détails d'une étude (forcément scientifique, sinon cela remettrait en cause le sérieux de ce blogatoufaire) sur le comportement des Greks- morbihannais-, je précise pour qu'il n'y ai pas de confusion avec d'autres iliens qui se ramassent à la pelle au ponnèse.
Tout cela est naturellement farci d'humour et de bonnes intentions, pour prouver que ce n'est pas parce qu'on est Breton qu'on n'est pas capable de rire de et sur soi-même - naturellement et of Corse ( ou là!...) En cas de réclamations je fournirais bien entendu les coordonnées de l'envoyeur (Eh! je sais pas nager moi)
Et pour me faire pardonner une vidéo de jackben 69- sur cette beauté sauvage et insulaire:
Sans oublier la merveilleuse chanson qui émotionne toujours à faire dresser les poils partout de Gilles Servat (et ceux des autres aussi bien entendu)
"De quelle source lui vient son nom ?
Est-ce de fée ou de sorcière ?
Ou de quelque noir enfer,
Comme la boue de ses sillons.
On dit que l'on y voit sa joie,
On dit que l'on y voit sa croix.
Je parle de l'île de Groix.
Malheur à celui qui débarque,
Il n'aimera pas ses hivers.
Il trouvera ses quais déserts,
Car le flot seul mène les barques.
Mais essayez d'foutre le camp,
Elle vous aura aux sentiments.
Comme femme retient l'amant.
L'hiver tient emprisonné,
Pour mieux la coucher au printemps.
Premier soleil sur les buissons.
Il n'y aura plus de gelée.
L'eau de ses ports est froide encore,
Mais fleurissent les boutons d'or,
Et le goéland a pris essor.
Si à travers mes yeux mi-clos,
Il me plaît à revoir juillet.
Je sens l'odeur du goudron frais,
Où passent quilles des bateaux.
La menthe des sourds noirs ruisseaux
Lutte avec l'odeur des sureaux.
De la vapeur tremble sur l'eau.
Les vieux parlent du temps passé,
A Locmaria et Port-Tudy.
Si vous ne comprenez pas tant pis.
Moitié français, breton moitié.
On dit que l'on y voit sa joie,
On dit que l'on y voit sa croix,
Je parlais de l'île de Groix.
On dit que l'on y voit sa joie,
On dit que l'on y voit sa croix.
Je parlais de l'île de Groix,
Je parlais de l'île de Groix."
et le site qui va bien avec- bon là je crois que j'ai pris toutes mes précautions! ;-)