Profitant d’un courant économique désastreux, la vague pandémique de grippe A-H1N1 annoncée depuis le printemps dernier, devrait s’abattre sur les habitants de notre planète dès cet automne. Vous vous souvenez il y a 10 ans… la grippe aviaire?
On disait la même chose il y a 10 ans à propos de la fameuse grippe aviaire, la terrifiante maladie des volatiles. Des milliers (sinon des millions) de morts annoncées… Elle n’aura pourtant causé la mort que de quelques 250 personnes en 10 ans ! 25 morts par année ! Alors que la grippe commune tue 500 000 personnes par année !
Et pour contrer cette nouvelle menace, qu’avons-nous ? des millions de vaccins.
Quel devrait être le problème numéro un ?
Trouver des structures pour permettre d’isoler et de soigner les patients infectés afin d’en limiter le nombre. Un plan quoi.
Ça n’est pas fait !
Depuis plusieurs semaines on entend des responsables de commissions scolaires du Québec se plaindre qu’ils n’ont pas reçu d’instructions pour la rentrée scolaire. Nos dirigeants ne prennent aucune décision quant au retrait préventif des femmes enceintes œuvrant auprès des enfants. « On décidera au cas par cas ! »
On décidera au cas par cas
Je ne sais pas si c’est moi mais… ça ne sent pas vraiment l’urgence il me semble. Prendrait-on le risque de laisser nos enfants et nos femmes enceintes baigner littéralement sept heures par jour, dans une soupe de petits microbes potentiellement mortels s’il y avait une chance pour que ça arrive ? Ce serait un vrai suicide politique.
On n’a pas de plans mais… on a des vaccins, ça oui.
La Bolduc chanterait: « Ah oui on a des vaccins…! » les vieux stocks de Tamiflu et du nouveau stock en préparation. Bin oui ! faut faire rouler l’économie: «on vous promet qu’il y aura suffisamment de vaccins pour tous ceux qui voudront en obtenir».
Un duo rentable…
Malgré l’écran de fumée qu’elle projette, certains voient dans cette pandémie une sombre distraction qui détournerait l’opinion publique de la crise économique… comme en temps de guerre: on achète des stocks de toutes sortes en prévision de la menace… et roule l’économie. Si menace il y a, faire rouler l’économie ne règlera pas le problème.
De quoi faudrait-il tenir compte pour réagir de manière efficace ?
- Le degré réel de dangerosité de cette menace
- L’existence d’un médicament (ou vaccin) efficace, sa disponibilité et l’assurance qu’il ne causera pas plus de tort que de bien.
Le citoyen n’a pas accès à cette information. Il doit se fier à ses dirigeants élus. Le genre de pression qu’ils subissent, le genre de décisions qu’ils ont à prendre relèvent d’une position à laquelle ils tiennent: le pouvoir. Le fait que nous les ayons élus ne les rend pas nécessairement plus aptes (intelligents) à analyser les problèmes et à diriger nos destinées. C’est pourquoi, de nombreux lobbyistes sont là pour les conseiller. C’est leur profession, ils sont très bien payés pour ça. Le lobby pharmaceutique est probablement le plus puissant de la planète.
Mon but n’étant pas de parler d’économie, je vous entraînerai donc dans une réflexion sur la solution envisagée pour venir à bout de cette pandémie: Vacciner.
Que savons-nous réellement à propos de la vaccination ?
Très peu… sinon ce que les majorité des scientifiques en disent: ça sauve des vies. Mais que savons-nous de la composition des vaccins ? de leur mode de production ? de leur pureté ? des tests et des analyses de suivi sur les populations ?
L’idée de la protection par le vaccin est bien ancrée dans notre société et ce, depuis fort longtemps. Mais depuis longtemps aussi, il se trouve des gens pour tenter de démontrer l’absurdité de cette pratique.
Il est possible de trouver de l’information sur les vaccins, les pour, les contre, et j’ai retenu quelques extraits tirés du site web MassacreAnimal.org pour faire contrepartie au discours habituel. À vous de juger.
Au début des années 70, le Dr. Paul-Emile Chevrefils, fut radié des cadres de sa profession par le Collège des médecins suite è son opposition aux vaccins. Il n’hésitait pas à déclarer, en 1965:
« Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur« .
(…)
La vaccination (ou l’immunisation, selon les termes de la médecine officielle) est basée sur le concept que l’inoculation de bactéries, fragments de capsules bactériennes, toxines bactériennes, virus ou fragments de virus, permet de procurer au corps humain les moyens pour se défendre contre une agression biologique avant qu’elle ne survienne. Il s’agit de stimuler le système immunitaire et de provoquer une réponse par un antigène (le vaccin) qui s’exprime par la production d’anticorps (une protéine) spécifiques.
Cette vaccination=immunisation, donc protection. Cette formule ignore la variation des réactions biologiques, variations dans les réponses immunitaires. Personne ne se donne la peine de contrôler les effets immunitaires après la vaccination, pas d’examens après les vaccins pour trouver les titrages d’anticorps. Pour pallier ces variations immunitaires, on fera des rappels, on revaccinera une deuxième fois comme ce fut le cas pour la rougeole au Québec, au printemps 1996.
(…)
Dès que quelques cas de rougeole ou de méningite pourraient faire croire à une menace d’épidémie, on vaccine massivement sans contrôle préalable sur la santé du vacciné. Chaque automne, au Canada, 4 millions d’individus se font vacciner contre la grippe, en très grande majorité des personnes âgées, parfois de peu de résistance.
Après la vaccination, si on détectait la présence d’anticorps, cela indiquerait-il vraiment une protection contre la maladie? Dans un article de l’Australian Journal of Medical Technology, le virologue B. Allen rapporte le cas d’un groupe de soldats vaccinés contre la rubéole qui, malgré qu’ils démontraient une production d’anticorps, contractèrent tout de même la maladie, dans une proportion de 80%.
Notre système immunitaire a-t-il vraiment besoin d’agents extérieurs, d’une immunisation artificielle pour bien fonctionner? Cette immunisation artificielle renforce-t-elle notre système immunitaire? Des substances associées à la maladie et à la mort peuvent-elles vraiment apporter la santé?
Lire l’article dans son intégralité sur le site source:
Rentable la pandémie…
Plusieurs sociétés pharmaceutiques sont dans la course pour la fabrication d’un vaccin contre le virus A (H1N1).
Le Canada a commandé 50,4 millions de doses de vaccin à la pharmaceutique GlaxoSmithKline. Selon l’Agence de santé publique, le vaccin devrait être prêt au début de novembre.
Aux États-Unis, le vaccin de la société Novartis a quant à lui déjà reçu l’approbation de la Food and Drug Administration (FDA), l’autorité réglementaire.
La France a commandé 50 millions de doses à GSK et 24 millions (dont un tiers en option) à Novartis.
Nous avons tous la capacité et la responsabilité de nous poser des questions sur les vaccins. Nous n’avons pas à remettre à d’autres notre pouvoir. Il nous faut prendre position. La santé de notre corps et celle de nos enfants nous appartient, totalement.