On fêtait il y a peu les 40 ans de Woodstock. Restons-y avec un blues qui me donne le frisson chaque fois que je l’entends, d’une des figures tragiques et emblématiques de ce festival.
Née en 1943, une rumeur raconte qu’à l’université, elle avait été désignée comme “le garçon le plus laid” du campus. Elle s’impose comme “chanteuse noire à la peau blanche” dès le début des années 60. Grande consommatrice de diverses drogues et d’alcool, elle meurt d’une overdose d’héroïne en 1970, laissant un chèque de 2 500 $ pour que ses amis organisent une gigantesque fête en son honneur, ce qu’ils ne manquèrent pas de faire avec force boissons: un enterrement comme j’aimerai l’avoir…
Janis Joplin dans un superbe “Turtle blues”:
Bon dimanche.
- Sauce Rochelaise sur “Actu bien pris tes comprimés?”.
- Les malheurs de Grigny, sur Géographe du monde.
- Le blues de la Nouvelle Orleans. Le Monde. Une grande partie de la musique que j’aime, elle vient géographiquement de là.