Je n'y suis pas allée non plus pour les Machines de l'Ile, dont je vous montrerai probablement des photos plus tard, ne serait-ce que parce qu'elle ont été laborieuses à prendre. Je dois une reconnaissance éternelle au vendeur du rayon photo de la FNAC qui a eu la gentillesse de recharger la batterie de mon appareil pendant que nous prenions le goûter à la terrasse d'un café voisin. Et quand je dis "nous", c'est juste les petiots et moi, je ne lui ai même pas offert un chocolat chaud en échange... Je ne sais pas encore si le problème vient de la batterie ou de mon chargeur, mais définitivement, il y a un truc qui cloche.
Non, la raison principale de ma venue à Nantes tient en 4 lettres. Ikéa. Oui, Ikéa. Je vois à la petite lueur dans vos yeux que vous venez de comprendre d'où vient le titre de mon billet, parce que vous aussi, vous allez chez Ikéa. Ne mentez pas, je le sais. Dites-moi... Lustifik, qu'est-ce que ça évoque pour vous? Lust, tout le monde connaît. Ifik comme "magnifique"?
Pour tout vous avouer, Lustifik, c'est l'espoir de la concrétisation d'un rêve... celui que les enfants vont enfin ranger leurs chaussures. Oui, je sais, c'est très terre à terre. Mais avec trois hommes à la maison, je suis devenue très terre à terre, c'est un fait ;)