Cette chanson que je n’oublierai jamais de Mary Higgins Clark

Il y a 22 ans, Kathryn a entendu une chanson dans la chapelle d’une maison alors qu’elle se cachait.

Kathryn est bibliothécaire maintenant, elle a décidé d’organiser une soirée chez les Carrington. Peter Carrington est suspect depuis la disparition d’une jeune fille il y a 22 ans et de la mort de sa femme.

A l’issue de cette soirée, Kathryn a épousé Peter. Pour sauver son mari, accusé, elle veut retrouver qui chantait cette chanson.

Lorsque le corps de la jeune fille est retrouvé, Peter est inculpé. Suit ensuite le corps de père de Kathryn. L’enquête accuse Peter. Le privé engagé par la famille de la jeune fille retrouve les éléments qui permettent de l’accuser. Mais il estime que tout cela s’emboîte trop facilement. Cela permettra de savoir qui est le véritable assassin.

Nous avons affaire à différents personnages. Tous sont partie prenante dans l’affaire. De plus, pour ne rien arranger, Peter est somnambule. Kathryn a des doutes quant à son innocence, mais ces doutes seront vite balayés. Elle a foi en son mari, même si leur mariage est tout récent. Est-ce que l’amour prime par dessus tout ? Sûrement.

L’amour, la fortune, la personnalité de l’accusé (qui ne croit pas en lui) vont permettre à différentes personnes très proches de jouer le jeu de la police et du privé.

Mais la tenacité de ce dernier, qui ne s’avoue pas vaincu et qui va essayer d’approcher Kathryn pour lui parler, va permettre le dénouement.

Kathryn a toujours vécu avec l’idée que son père s’était suicidé à cause de son alcoolisme. Idée entretenue par sa grand-mère. Elle lui en a toujours voulu, surtout de ne pas avoir laissé un écrit pour expliquer son geste. Mais le meurtre change la donne.

Encore un bon polar de Mary Higgins Clark. Les mêmes ingrédients font toujours recette bien que l’intrigue change à chaque fois et est renouvelée. Heureusement, car on se lasserait.