Le voile tombe au ralenti , une ligne après l’autre, rongé par la splendeur qu’il ne peut plus contenir. Le temps de se débattre s’est abattu, résolution pacifiste de l’autre côté des océans, impudeur frémissante à l’inversion des cambrures, lorsque le masculin se fond au féminin et que ses perpendiculaires ne sont plus qu’arabesques enlacées. Quel degré de virilité faut-il sonder pour arriver là ? Ainsi déportée, l’âme tressaute. Elle devient cœur, sans un souffle de regret, toute dévorée de premiers instants.
chez Cribas