Ce soir, je ne sais que penser, paraitrais. Je cherche les images dans les flots de mes souvenirs pourtant si récents et si lointains à la fois, semblant inatteignables et invisibles dans le noir opaque de la nuit.
Ce soir, je ne sais comment retenir mes larmes, paraitrais. Larmes d’un renouveau, larmes d’un au revoir, larmes d’une déception et d’un espoir à la fois, coulant sur mes joues rougies, les rêves d’une vie interdite, soufflant ses désirs dans la nuit noire.