Des ombres noires cachent l’indicible
Gîte de mes gris et profonds désirs
Là où ma vérité est lâche
Et mes vertus sont martyres
Dans ma conscience inconsciente
Je me blottis à la hâte
Pour oublier mes faux pas dissonants
Mes secrets sont à jamais plaintifs
D’un besoin de divulgation impossible
Dans ma conscience inconsciente
Le rythme perd doucement sa cadence
Lorsque seule je me retrouve
Et que mon âme triste valse
Sur le chant de mes impostures