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Scarecrow: gone wild

Publié le 28 août 2009 par Olivier Walmacq

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genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2004
durée: 1h25

l'histoire: Pour s'amuser, quelques lycéens attachent un de leurs camarades à un épouvantail. Abandonné toute la nuit à son triste sort, il tombe dans le coma. Mais l'épouvantail prend vie et élimine un par un les adolescents.

la critique de Eelsoliver:

Après un premier épisode désolant, la saga Scarecrow se poursuit. Sincèrement, je n'ai pas vu le second, donc impossible de le juger.
Scarecrow: gone wild est donc le troisième et le dernier volet de la série, en espérant que ce soit bien le dernier. Pourtant, il était difficile de faire pire que le premier épisode, mais ce Scarecrow: gone wild commet l'exploit de nous démontrer qu'il est possible d'aller plus loin dans le navet.

Au moins dans le premier, le réalisateur tentait de faire de l'humour (même si ça foirait à chaque fois). Ici, plus rien... On prend les mêmes et on recommence.
Le scénario est donc presque identique au premier volet. Encore une fois, un pauvre lycéen boutonneux, mou du genou et ayant le charisme d'un haricot pas cuit, est la risée de ses camarades.

Attaché à un épouvantail toute une nuit, il tombe dans le coma. Mais l'épouvantail en question s'est emparé de son âme et va donc punir ses camarades.
Dans ce troisième opus, le réalisateur, Brian Katkin, se contente du minimum syndical: l'épouvantail, qui déjà, avait un look affreux dans les épisodes précédents, ne ressemble plus à rien.
Ici, les producteurs se sont contentés de foutre un sac sur la tête de l'acteur avec un peu de paille pour faire croire au personnage.

De plus, le film tourne souvent à vide et on sent le manque cruel d'inspiration. Pour faire passer le temps et pour remplir le contrat d'un film d'horreur d'environ une heure et 30 minutes, le réalisateur filme une partie de volley qui dure au moins dix minutes et qui ne sert à rien.
Du vrai foutage de poire! Ne regardez jamais ce film. A fuir!

Note: 0/20


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