A l’origine, la société travaillait dans le forgeage à chaud, l'usinage et le roulage… rien de bien porteur me direz-vous. Mais André Laurent a pris les bons virages au bon moment.
D’autre part, sur un segment à plus faible valeur ajouté, André Laurent s’est savamment positionné à l’international. Afin de rester compétitif sur les marchés des pièces standards dédiées au bâtiment, aux équipementiers automobiles et aux machines agricoles, la PME a développé un comptoir à Shangaï et racheté une entreprise Marocaine. La filiale chinoise, qui a bientôt 2 ans, a révélé un marché sur place. Quant à Fidemeca, la filiale Marocaine, elle produit des pièces à bas coût et développe aussi le marché local. Au total, ce sont 30% des ventes d’André Laurent qui se font à l’international.
Les objectifs à court terme ? André Laurent, malgré la crise et le recul de ses ventes, garde le moral et sa stratégie gagnante.
1. L’international, toujours, avec l’ouverture d’une agence commerciale en Allemagne en 2010 et l'objectif de réaliser 50% de ses ventes à l'international.
2. Des investissements dans la production au Maroc, ainsi qu’en France dans ses laboratoires de contrôles et pour obtenir de nouvelles certifications.
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