J’ai fait un rêve. En fait, deux. Deux rêves concernant les séries. Mais pas dans la même nuit.
De quoi ai-je pu rêver ? Que je tentais de faire jouer le grand bleu à Meredith Grey dans les toilettes ? Que je fais les valises de Neela et la conduit à l’aéroport pour prendre le vol 815 d’Oceanic Airlines ? Que je dégraissais le pot d’échappement de Kitt ? Que j’échappais à l’équipe du DSC après avoir découpé en morceaux toute l’équipe du podcast The SL Chronicles ?
Que nenni ! Non, cela concerne un docteur et une jeune blonde toute mimi prénommée Veronica.
Le premier rêve date du week end dernier et concerne le podcast The SL Chronicles, Stan et un docteur. Et non, je ne jouais pas au docteur avec Stan pendant un enregistrement. C’était assez simple. On était enfin reconnu par SeriesLive qui nous avait choppé une invitation à une convention du pauvre sur Doctor Who. J’y allais tout content et Stan devait m’accompagner en ralant. On s’est retrouvé dans une vieille salle type cinéma tout pourri et il n’y avait que quelques comédiens de doublage de la série sur la scène et une grosse douzaines d’autres « journalistes » invités en plus de Stan et moi. Les comédiens parlent un peu de leur métier et de la série façon making of (« ouais, j’ai jamais eu un rôle aussi génial avec des partenaires aussi fabuleux » …) et puis le truc se finit par une invitaion aux volontaires pour doubler quelques scènes comme ça. Je saoule Stan pour qu’on y aille mais il refuse, ne voulant pas se taper la honte. Je vais donc sans lui faire un peu de doublage avec d’autres inconnus (et les filles étaient tristement banales physiquement). Le machin se termine et on ressort en compagnie du comédien doublant le docteur et arrivés sur le parking on le voit monter dans sa voiture : une 206 toute bizarre vu qu’en fait, ce sont deux moitiés avant de 2006 collées ensemble. Je lui demande pourquoi et là, le mec me sort : bah comme ça, j’ai qu’à changer de coté plutôt que de faire une marche arrière. Et il s’en va en rigolant comme un malade et Stan me sort : « c’est bien les belges ça ». Et je me suis réveillé tout perturbé.
Le second rêve, c’était la nuit dernière. Veronica Mars venait habiter dans l’immeuble en face de chez moi. Enfin tantôt c’était Veronica, tantôt, c’était Kristen Bell. Et la pauvre, elle était toute seule pour déménager ses meubles. moi, je passais tranquille et elle m’interpèle pour avoir un coup de main. Ca me fait chier mais gentleman avant tout, j’y vais quand même et je prends les cartons les plus legers lui laissant en chier monumentalement en trainant comme elle peut le canapé en cuir. Ouais, j’ai la classe même en rêve. Au bout d’un moment, j’ai eu pitié d’elle et je l’ai aidé à rentrer le canapé. Elle me remercit, m’offre une citronade faite maison (et là, c’est trop bizarre. Vous vous imaginer Veronica ou Kristen faire elle même de la citronade ?). On discute un peu, on rigole bien et elle me propose d’aller faire un tour alors que la nuit vient de tomber. Hop, on y va. On avance tranquille dans le quartier, main dans la main. C’est génial. Et on tourne au coin d’une rue et paf, une bande de jeunes du ghetto. Ils nous regardent, on n’est pas tranquille. On accélère un peu la pas, ils comment à nous suivre et on se retrouve face à deux autres jeunes avec un couteau à la main.Ils s’avancent vers nous et hop, en deux temps, trois mouvements, je les rétame. Et les autres qui nous suivaient courrent alors vers nous en nous menaçant. Hop, j’ordonne alors à Kristen de courir jusque chez elle et je me mets alors en position pour affronter la bande de jeunes du ghetto. Et je me réveille. Je ne saurais jamais si je leur ai pété la gueule et Kristen est alors tombée amoureuse de moi, son héros. Ou bien si ils m’ont rétamé la tronche et ils l’ont ensuite violée avant d’en faire leur bitch.
Voilà, c’était deux de mes rêves. Je vous parlerais bien de celui où je fais partie de Stargate SG1 au milieu d’un cinéma labyrinthe et où on est poursuivit par les frères de Prison Break mais je n’y arriverais pas, je ne m’en souviens plus suffisament (il date d’il y a quelques mois celui-là).
Et de grâce, ne cherchez pas à m’analyser à travers ses deux rêves