Nous sommes bien placés pour savoir que la vente de contenus journalistiques au beau milieu d’un océan de gratuité sur Internet nécessite une bonne dose de pugnacité pour convaincre des éditeurs, et d’inventivité pour séduire des consommateurs avec une offre un peu « sexy ». Ce n’est parce qu’on commercialise des contenus multi-éditeurs de manière simple avec un seul point d’entrée pour le consommateur qu’on dévalorise les contenus, bien au contraire. C’est aussi en démontrant leur capacité à adopter des modes de commercialisation souples et modernes que des magazines renforcent leur marque auprès d’une audience de plus en plus volatile.
Si la monétisation de contenus sur Internet était facile, ça se saurait … en tout cas, meilleurs vœux de succès à Journalism Online !
Aymeric