Le dessinateur s'est confié à nos confrères de l'AFP : « Jean-Claude c'est quand même un prénom lourdingue. Je l'ai associé à Tergal parce que c'est une caricature du looser. Porter des pantalons en tergal, c'est pas bon avec les filles ».
Sous la torture, il avoue finalement : « J'ai des points communs avec lui, mais il en a surtout avec les lecteurs » expliquant « Certains me disent qu'ils se sont retrouvés dans telle ou telle situation, qu'il y avait toujours un couillon pour les appeler Jean-Claude Tergal... J'ai rassemblé toutes les souffrances que l'on peut avoir avec les filles et j'en ai fait une comédie. Il y a une espèce de soulagement de voir que ce qui a été vécu de manière parfois tragique est raconté de façon comique ».
Il faudra donc attendre le 02 septembre pour savoir quelles misères Tronchet réserve encore à Jean-Claude Tergal, mais on peut être sûr d'une chose, ça ne va pas être triste.