La pauvreté ne peut pas être "guérie", car elle n'est pas le symptôme de la maladie du capitalisme. C'est tout le contraire : elle est la preuve de sa bonne
santé, l'aiguillon qui le pousse vers de nouveaux efforts, de nouvelles accumulations... Même les plus riches se plaignent de devoir renoncer à tant de choses... Même les privilégiés sont
contraints d'être habités par la volonté de lutter pour acquérir encore plus...
Jeremy Seabrook, The race for riches : the human cost of wealth.
Cité par Zygmunt Bauman, in Le coût humain de la mondialisation