Rappelons brièvement la caratéristique principal de ce "blog-qui-n'en-est-pas-un". Interface (qui à dit inter-farce ?) externe d'un processus de construction-déconstruction intérieure spirituelle et existentielle. Toutes les notes puvbliées ici même, quand bien même elles apparaissent dans la catégorie "Aphorismes", peuvent êtres modifiées, corrigées à des dates postérieures (très postérieures) à leur première publication "visible", tout est support de pensée et de verbe, à priori comme à posteriori ...
Ainsi ce qui suit sera suivi ... ceci n'est que le prolégomène d'un vaste articulet qui me dévore depuis plusieurs mois et qui s'auto-alimente de façon non-chronologique, sans logique chronologique, les temps et contretemps se répondant de manière diachronique ...
CE GRAND CADAVRE QUI INVERSE :
"Intérieurement comme extérieurement, rien ne sera plus vie, tout sera construction : à l'être désormais éteint se substituent dans tous les domaines le "vouloir" et le "Moi", comme l'étayage sinistre, mécaniste et rationaliste, d'un cadavre."
Julius EVOLA, Révolte contre le monde moderne.