En racontant ce qu’est la fasciapulsologie, aujourd’hui, à une journaliste du magazine Famille actuelle, j’ai pris conscience que le dénominateur commun de toutes les personnes qui viennent en soin est le besoin de changement. Changer en soi, en lâchant ses propres tensions pour trouver une plus grande liberté et affronter la Vie telle qu’elle se présente à nous. C’est souvent la peur d’affronter la réalité qui nous emporte dans le mode de Vie qui est le nôtre mais qui nous conduit à nous bloquer, à nous carapacer.
Je ne vois donc que les personnes qui prennent conscience de la nécessité de se libérer de leurs blocages. Et je ne suis alors que l’instrument, que le catalyseur de ce déblocage. Car les personnes se libèrent d’elles-mêmes. Juste avec l’aide d’un petit coup de mains.. les miennes. Au moment opportun.
C’est un point commun qui n’est pas sans conséquence. Si une personne n’est pas prête à lâcher ce qui se joue par sa maladie, elle n’a rien à gagner à venir me voir car elle ne trouvera qu’un changement au bout des séances. Pour certaines personnes, cela veut dire, divorce, séparation de son milieu familial, changement de travail, etc. On peut penser alors que les effets peuvent être néfastes... Mais la liberté que l’on acquiert, dont je parle plus haut, ne fait que nous mettre face à notre propre réalité...
C’est donc de la confiance et du courage qu’il faut pour venir en soin. Le courage de perdre des illusions, des peurs qui nous enchaînent et nous empêchent de nous épanouir.
Et l’épanouissement n’est pas toujours confortable... Reste alors à choisir entre
la fasciapulsologie qui apporte plus de liberté.. ou le confort de ne toucher à rien...