Femmes-enfants par Orange Mécanique

Oublions deux minutes la Bardot intolérante, et pardonnons l’actrice médiocre, souvenons-nous de BB jeune, icône absolue. Faisons abstraction des ses propos racistes, et ne pensons qu'à la défenseuse des animaux, fermons les yeux, et là les images de la beauté blonde reviennent. Une des plus belles femmes du monde en son temps. Sensuelle et libre, déesse vivante dans Et Dieu créa la femme. Lançant un style, des modes, je pense à son chignon "choucroute", au vichy, à Saint-Tropez, l'ayant rendu célèbre tout autant, voir plus, qu'Eddie Barclay.
La française la plus connue à l'étranger. Il eut même pour le monde dans les années 60, Brigitte et De Gaulle.
Remercions-la pour la liberté qu'elle a insufflée à son époque, et allons voir l’expo qui lui est consacrée.

Et puis Gainsbourg en était fou, Je t’aime... moi non plus avait été écrit pour elle en 1967, mais ne pouvant sortir cette version, car Bardot était mariée au milliardaire allemand Gunter Sachs.
Autre icône, femme-enfant, chanteuse-actrice, croisant la route de Gainsbourg, c'est Vanessa Paradis. Souvent comparée à Bardot, entre autres pour les réactions d'amour et de haine extrême du public.
Elle fait également partie de l'actu de la rentrée en sortant son premier best-of, 21 ans de carrière déjà !

Il paraît qu'elle aurait réenregistré quelques tubes, et proposera deux titres inédits, dont I love Paris, la pub des Aéroports de Paris et Il y a, signé Gaëtan Roussel du groupe Louise Attaque.
J'ai hâte, car moi j'ai toujours aimé Vanessa...

Sa collaboration avec Matthieu Chedid sur ses deux derniers albums, dont la présence de ce dernier sur la tournée Divinidylle, et leur amitié, me fait penser que lui aussi sera très présent dès la semaine prochaine. Un nouvel album très attendu, Le roi des ombres, dans les bacs le 7 septembre, pour notre plus grand bonheur ! Mais ça, j'en reparlerai sûrement...