Faute de primaires à gauche il y des décennies nous avons eu un primaire!
Le débat sur les primaires me paraît à la date d'aujourd'hui secondaire tant
nous avons besoin, le PS et les autres également, d'avoir un programme clair. La vraie rentrée ce n'est pas celle des Montebourg, Peillon, Vals, Dray et autres Cohn Bendit, Taubira et Modem
tentant de se reconnecter, ni celle des alliances mais bien celle du terrain social. Au nivau local j'ai beaucoup de difficultés à voir les "élites" se ruer sur les billets de l'agence de com de
l'université d'été socialiste de La Rochelle et s'oblitérer du travail sur le terrain et en l'occurence de la manifestation des cartables à la salle J. Brel où vont se rendre en l'absence de tout
micro et de toute caméra les foyers de notre ville pour recueillir les fournitures scolaires remises par la municipalité! Ces gens m'interressent plus que le bêlatre quadra du PS en quête de
carrière et je comprends fort bien la réaction de J.C. Cambadélis qui exorte ce dernier à loa raison du travail, à la raison programatique, à la raison de la réactivité face aux décisions
gouvernementales en tout genre qui fleurissent!
La petite "une" de Libé avec le parrain Joseph qui se soustrayait à tout désir de primaires!: