Selon le baromètre établi en partenariat avec I+C, les retours du deuxième trimestre on franchi le cap des 26 %, soit une hausse de 2 % en regard de la même période l'an passé.
On apprendra également dans l'édition de vendredi qu'un acheteur met 17 € en moyenne dans ses investissements livre, soit un de moins qu'en 2008. Et du côté gestion, les stocks gagnent 5 jours, avec 75 jours de vente. Plus d'informations dans leur édition de vendredi en tout cas.
Comme nous avions eu l'occasion de le préciser, les retours d'invendus peuvent à terme représenter un risque financier certain pour des maisons, et même celles ayant pignon sur rue. On se souviendra ainsi du cri d'alarme poussé par Bloomsbury, l'éditeur d'Harry Potter, qui s'inquiétait à juste titre des retours bien plus nombreux que prévu. « Nous continuons de mettre l'accent sur la gestion de notre base de coûts, à la lumière de l'environnement économique difficile et investissons soigneusement dans notre futur programme éditorial. »