En rechercheant a tout prix l intervention de l etat dans les recoins les plus intimes de la vie privee les collectivistes droits de lhommistes rendent un bien mauvais service a la liberte.
Il ne peut y avoir de societe libre si l etat s occupe aussi de faire rembourser le psychiatre ou le chirurgien pour les allers et retour d une affectation de genre changeante !
Par ailleurs au momemt ou le pays traverse un grave déséquilibre de financement de l'assurance maladie d Etat ce type de proositions est totalement irresponsable. Le genre genetique est assume depuis les origines de l'homme, la transexualite est un choix libre que l individu doit assumer dans ses conséquences économiques et sociales. Les entreprises sont regulees pour ne pas discriminer, l armada des lois est considerable au point d etre difficilement applicable. Pour le reste l individu doit etre en face e sa responsabilite. Le dechoir de cette derniere au profit de l etat est illegitime dispendieux et demagogique.
Mais le débat continue:
" Vous citez l'exemple d'une crèche en Norvège qui supprime les prénoms masculins ou féminins des enfants pour qu'ils ne soient pas dès le départ conditionnés par leur genre...
S. H. - L'idée est en effet de donner un prénom neutre aux enfants afin de les élever le plus longtemps possible dans un univers qui échappe à la différenciation sexuelle. C'est une expérience extrême, un peu jusqu'au-boutiste, qui ne m'emballe pas car elle fait maladroitement écho à la phrase de Simone de Beauvoir : " On ne naît pas femme, on le devient. " Le genre est certes une construction sociale, mais les corps existent dans leur asymétrie, et les enfants le savent bien."
Ce qui est fascinant c'est la préférence pour l'irrationnel. Aucune preuve n'existe de ce constructivisme social, et bien sur les "idées" de SDB sont placées au dessus de tout l'édifice de la biologie et de la psychologie.