Ce serait le résultat de la crise aux USA, sachant que les 10% les plus riches auraient été épargnés. Explication :
Les « 90% » de pauvres ont une partie majeure de leur fortune investie en immobilier, ce qui n’est pas le cas des plus riches. Or, c’est essentiellement l’immobilier qui a été dévasté par la crise. En outre, elle a été soignée par un plan de relance qui a coûté cher au pauvre, alors que le riche en était le principal bénéficiaire…
Deux questions :
- Une petite partie de l’Amérique s’enrichit aux dépens de l’autre ; chaque crise marque une nouvelle phase d’enrichissement ?
- Les revenus des pauvres vont de plus en plus dépendre des riches : le pauvre sera de plus en plus au service du riche ?
Compléments :
- Les billets dont sortent ces idées : United States Inequality in the Recovey Period, The Two-Track Economy