Dans la foulée, quelques vers de la traduction, par la même, d'un poème de Ralph Waldo Emerson, parue récemment (juin) dans le n°2 de la revue MIR, éditée par les éditions Ikko.
Ce paysan rêveur était assis, humble,
Auprès des eaux de la forêt ;
Les racines enchevêtrées du pin
Formaient les entrelacs de son trône ;
Le vaste lac, frangé de sable et d’herbes,
Était poli comme un verre
Coloré par les ombres vertes et majestueuses
De l’arbre et de la nue.
(c'est moi qui souligne)