Week-end à Québec – Part III

Publié le 21 août 2009 par Dateurenserie

Dimanche, 16 août 2009.

Le réveil était un peu plus dur que celui de la veille. Je ne sais pas s’il était causé par le fait que ce n’est plus aussi facile de sortir deux soirs en ligne à 26 ans ou bien le 2h30 de route que j’anticipais. Sûrement un malheureux mélange des deux.

Tant qu’à être à Québec, aussi bien voir la Beauceronne. Faut savoir rentabiliser ses voyages. Je l’ai texté pour lui proposer d’aller à une plage dans son coin. Il faisait toujours soleil et probablement encore plus chaud. Elle m’a répondu oui et nous sommes allés au Lac Vert à Lévis. Les gens du coin doivent savoir ce dont je parle.

Je me disais qu’une fois dans l’eau je pourrais faire ce qui me plairait avec elle sans que personne nous voit. Faire l’amour en public tout en étant à l’abri des regards est le mix parfait pour les exhibitionnistes peureux comme moi.

Et bien non. Le Lac Vert est vraiment vert. Mais ce n’est pas l’eau qui est verte. Ce sont les reflets avec le fond qui causent cette couleur. C’est de l’eau de source, l’eau est aussi limpide que dans un vert d’eau. Je voyais mes pieds dans le fond.

Pour la discrétion, on repassera!

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Chanson du week-end

Discobitch avec C’est beau la petite bourgeoisie. Elle a joué les deux soirs… on a beau aimer ou pas – moi j’aime – elle reste dans la tête.

Le Palace

Le Palace est un club assez weird. Weird pour le gars aux toilettes qui t’offre du papier pour t’essuyer les mains. Je ne sais pas si c’est monnaie courante à Québec, mais ailleurs, non. Pour en ajouter, il nous offre des poushs de parfum. Le comble du quétaine. Et se retrouver à discuter parfum avec un gars dans les toilettes des hommes, c’est très… vous savez! Trop c’est comme pas assez. Définitivement mieux le Dagobert.

La blague du week-end

Toutes les blagues impliquant le Maire Labeaume. Ok, j’en ai peut-être un peu trop abusé alcool aidant. Le commis du Ashton ne la trouvait pas drôle.

Le retour

Tout le long du retour, j’ai rêvé à un cappucino glacé du Tim. Rendu à un Tim Hortons je fais la file qui était très longue. Avant de passer, j’apprends que la machine est brisée. J’opte pour une slush au dépanneur, mais il n’y a plus de couvert pour le format que j’ai choisi. Au diable, il fait trop chaud. Et bien deviné où s’est retrouvée la slush… Sur la route, toujours avec un couvert… ok?

Prochain texte: Une nouvelle venue…

D.