« La pression exercée par les médias à Montréal, autant francophones qu’anglophones… Étant donné qu’il y a deux langues, c’est très différent, et la plus grosse couverture se fait en français. La population vit pour le hockey. C’est presque comme s’il n’y avait que le hockey à Montréal ».
« Dans d’autres villes, tu te fais juger selon ta manière de jouer au hockey. Si tu ne joues pas bien, tu vas l’entendre à Calgary ou Edmonton. À Montréal, ce n’est pas juste le hockey qui est jugé, mais ta vie en entier. Il n’y a pas de vie privée. Peu importe ce que tu fais sur et en dehors de la glace, tu vas être scruté à la loupe. »
« Tout le monde dit que notre année a été un cauchemar.. Nous avons fait les séries. Nous avions quatre blessés majeurs en séries éliminatoires : Markov, Schneider, Lang et Tanguay. Avec ces quatre joueurs en santé, je crois que nous aurions battu Boston ».
« À un certain moment, on dirait que tout allait s’écrouler et que nous n’allions pas nous qualifier pour les séries éliminatoires. Ça, ça aurait été un désastre. »
« Nouvelle administration, nouveaux propriétaires, nouveaux entraîneurs. Après ce qui s’est passé la saison dernière, je crois qu’ils voulaient un nouveau départ. Ils voulaient une meilleure et une plus jeune équipe ».
« Avec tous ces changements, il y a des attentes. C’est une chose d’avoir tous ces joueurs, mais une chimie doit s’installer. »
« Je crois que ça va fonctionner ».