Il affirme : « Concernant le chiffrage des tâches, hormis les rares cas où une réglementation nationale est incontournable, l'absence de toute référence à un calcul national renvoie aux établissements le soin de quantifier le forfait horaire local associé aux tâches ainsi listées ».
Il ajoute : « Faute de financement correspondant, sachant aussi le contexte du sous-encadrement de l'Université et de ses différents secteurs, la prise en compte des tâches en application de cet arrêté se traduira par un creusement des inégalités (entre) établissements comme entre collègues ou entre secteurs d'un même établissement ».
Le Snesup-FSU souhaite « une reprise des discussions pour faire évoluer ce référentiel ». De son côté, le ministère rappelle qu'« un comité de suivi va être instauré pour suivre sa mise en application, ce qui permettra de constituer un corpus de bonnes pratiques et de favoriser leur diffusion, voire d'adapter le référentiel si cela s'avérait nécessaire ».