Comme 2000 miches de pain chaud dans le four d'une boulangerie

Publié le 14 août 2009 par Gabnews
Voici une proposition de traduction/adaptation du texte de l'article de Corner Shop Studio que vous retrouverez en anglais en bas de page, ainsi que les miniatures des photos
Karkwa @ Metropolis - 08.07.09
En se servant de leurs flèches d'un charme Franco-indie avec un intelligible production, Karkwa a prouvé encore une fois que la fabrication maison traite toujours avec le meilleur goût, comme le Metropolis insuffle et influence des performances construites pour les performers.
Le chanteur Louis-Jean Cormier chanter la sérénade à l'intention de la foule, d'une voix étincelante qui dansait sur le mur de la respiration lancinante de sa guitare et de la douceur à pleurer des claviers de Francois Lafontaine.
Le quintette de Montréal a joué des ancienness et des nouvelles pièces, touchant aux " tremblements s'immobilisent" de 2005,tout en offrant une très large quantité de materiel du Volume du Vent, dont l'immenses 4/4 "Oublie Pas" ou la berceuse de choix accompagné d'ondulants claviers qu'est le Solstice.
Comme toujours, le batteur Stéphane Bergeron a introduit la simplicité vers des niveaux plus élevées, l'humble exercice en retrait laissant la place à l'approche progressive de "tick tock" de Julien Sagot aux percussions.
Les murs des lieux ont travaillé dur pour ne pas faire sauter les clients rassemblés dans le Métropolis comme 2000 miches de pain chaud dans le four d'une boulangerie. La salle était chaude prete à expirer d'un souffle extatique et Karkwa a nourris la foule avec l'intensité de chaque serie de cris et d'applaudissement.
La combinaison de constructions picturales pleine d'émotion se construit délibérément tout en maintenant un climat de progression imminente et culminante, ces garçons venus de de la Sin City du Canada, présente un spectacle qui vaut vraiment d'être regardé.
“N’oublie pas mon coeur, Oublie pas mon coeur, Avant qu’on s’écoeure, Oublie pas mon Coeur”, la sincérité de conquérir les cœurs et les peines de coeurs vivent dans la maison que Karkwa construit. C'est un groupe avec une multitude de flèches dans son carquois de leur attente ... Juste attendre de prendre leur photo parfaite.
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Serving up their swells of Franco-indie charm with an intelligible deliverance, Karkwa proved once again that homemade treats always taste the best, as Metropolis gasped and swayed to a performance built for the performer. Singer Louis-Jean Cormier serenaded the intent throng with sparkling vocals that danced upon a breathing wall of his throbbing guitar and the gentle weep of Francois Lafontaine’s keys.
The Montreal quintet performed ditties old and new, touching on 2005’s Les tremblements s’immobilisent, while delivering an overwhelming amount of stock from Le Volume du Vent, including the towering 4/4 thump of Oublie Pas or the wavy key accompanied picking lullaby of Le Solstice. As always drummer Stéphane Bergeron brought simplicity to higher ground, exercising a humble dip and retreat approach leaving room for the progressive tick tock of Julien Sagot’s percussion.
The venue’s walls worked hard to not pop as the night’s patrons squeezed into the Metropolis like 2000 loaves of bread baking in a muffin tin. The room was hot with the exhale of ecstatic breath and Karkwa fed off the mob’s intensity with every delivered clap and scream.
Combining picturesque builds of soulful emotion while deliberately maintaining a brooding atmosphere of impending climax, these boys hailing from Canada’s sin city, make a live show worth watching. “N’oublie pas mon coeur, Oublie pas mon coeur, Avant qu’on s’écoeure, Oublie pas mon Coeur”, the sincerity of conquered hearts and love sick souls live in the house that Karkwa built. This is a band with a plethora of audio arrows in their quiver… Just waiting to take their perfect shot.




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Article de Lit Hardway de Corner Shop Studio le 13 aout 2009