Certes, à quelques années du passage de la seconde ligne de tram à proximité de l'actuel siège de la CCI, l'argument de l'accessibilité ne tient pas. Et on peut comprendre que les élus orléanais souhaitent qu'une telle activité soit maintenue au centre-ville. Mais comme d'habitude, ils arrivent après la bataille, incapables d'anticiper la gestion de « gros » dossiers, comme on l'a encore vu récemment dans le bras de fer Grouard/Doligé (une de plus) à propos de la gare routière.
Certes, à quelques années du passage de la seconde ligne de tram à proximité de l'actuel siège de la CCI, l'argument de l'accessibilité ne tient pas. Et on peut comprendre que les élus orléanais souhaitent qu'une telle activité soit maintenue au centre-ville. Mais comme d'habitude, ils arrivent après la bataille, incapables d'anticiper la gestion de « gros » dossiers, comme on l'a encore vu récemment dans le bras de fer Grouard/Doligé (une de plus) à propos de la gare routière.