la vie en pointillés

Par Plouf
vivre en pointillés,
et sans avoir aimé,
tout juste une passion
presKe un abandon!
la chaleur me brûle
j'ai retiré mon pull,
la ville enneigée,
presKe un beau uartier!
j'ai mal d'être toi,
si triste d'être trois,
de grande réussite,
la morale subite.
De tant d'années d'absence,
Connais-tu la frékence,
où notre coeur vit,
de minutes parties?
nOn je n'ai pas pleuré,
les dés étaient pipés,
kel grand déshonneur,
Pour elle et ses soeurs,
jusk'à la peau  blanchie,
la lessive aussi,
a nettoyé leurs têtes
les enfants à la fête,
dehors, à ma fenêtre,
je me dis ke peut-être,
un jour ce sera toi,
ki par ici viendra!