La grande mer d'Olivier Deck : à perte de vue

Publié le 13 août 2009 par Actualitté

Le monde de l'édition > Les maisons > Actualité

12

" Vieil océan, ô grand célibataire, quand tu parcours la solitude solennelle de tes royaumes flegmatiques, tu t'enorgueillis à juste titre de ta magnificence native, et des éloges vrais que je m'empresse de te donner. "

[...]

" Vieil océan, aux vagues de cristal... Mes yeux se mouillent de larmes abondantes, et je n'ai pas la force de poursuivre ; car, je sens que le moment venu de revenir parmi les hommes, à l'aspect brutal ; mais... courage ! Faisons un grand effort, et accomplissons, avec le sentiment du devoir, notre destinée sur cette terre. Je te salue, vieil océan ! "

J'imagine que l'auteur ne nous reprochera pas d'avoir utilisé Lautréamont pour introduire son livre et notre chronique. Ainsi, inutile de trop s'attarder, La grande mer, d'Olivier Deck, c'est tout de suite.

Sources : , , ,

Pour approfondir