Me voilà étonnée que personne n’ait encore commenté ce post. Laisser tomber… pour un moment?! Mais que sert de retarder?… Tu n’as sans doute pas régressé, toute avancée dans le temps est une avancée, nécessairement. Ouais, je sais, jeu de rhétorique facile.
L’affaire est complexe, c’est vrai, mais tu ne vas pas nous fuir après tout le boulot qu’on a fait, non mais?!
Tu as accepté ma proposition de nous décrire les problèmes auxquels tu te heurtes. Appel aux autres lecteurs ou pas encore lecteurs, d’ailleurs (bien que ce soit un peu difficile de comprendre ce qu’Oli nous raconte quand on n’a pas lu, je crois): coup de main nécessaire pour ne pas voir finir L’Eau sale au fond d’un tiroir ou au fond d’un disque dur…
L’idée de renforcer le côté meurtrier de Julia est très alléchante.
Mais pourquoi le chapitrage doit-il être thématique? Evidemment, cela rend la tâche extrêmement difficile. Ce chapitrage pourrait être “tout simplement” chronologique pour Julia, non? Pourraient s’intercaler alors en décalé les pensées de Thomas, comme ce le fut jusqu’alors. Le décalé de Julia peut justifier un tel ordre chronologique. La classification thématique me semble même problématique, à première vue: Cela ne perd-il pas de l’authenticité? En général, le flux de conscience n’évolue pas thématiquement. Mais tu as sans doute déjà réfléchi au problème ou l’as ressenti.
Le déséquilibre des chapitres est pure forme. En cassant le rythme de lecture, tu insinues l’augmentation de la dramatique, l’impossibilité de stopper la lecture en plein milieu de l’acte. Ce déséquilibre ne me semble donc pas problématique, au contraire. Tu peux éventuellement faire des chapitres de 10 pages ou augmentant au fur et à mesure. Bon, voilà que j’augmente la complexité!
L’avis d’autres lecteurs serait vraiment bienvenu. A plusieurs, on a toujours de meilleures idées.