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[Fringe] Critique de l’épisode 1×18 : « Chasse de nuit »

Publié le 13 août 2009 par Tommy

La critique suivante sur l’épisode 18 de Fringe a été écrite par Tao de CritikSeries. N’hésitez pas à la commenter, à donner votre avis, ou même d’écrire votre propre critique si vous le souhaitez. Au moment où Tao a écrit sa critique, l’épisode ne s’appelait pas encore Chasse de Nuit

Fringe : 1.18 Mangeuse d’hommes (Midnight)

Vous aimez les discothèques ? Moi, pas du tout. Qu’importe il s’agit d’un endroit à la mode dans Fringe. Qui l’eut cru, l’observateur est le premier des fétards. Comme quoi les chauves savent aussi s’amuser. Olivia est elle incapable de se lacher. Même en boite elle tire la gueule. Tout cela car son Peter chéri part à la chasse à la chaudasse. Et il ne s’en cache pas le salaud. Il raconte même à une espèce de traînée qu’il cherche à attraper la syphilis. Chacun ses fantasmes sexuels. Après tout je ne suis pas là pour juger. Ah en fait, si je le suis. Donc si le fils aime les syphilitiques, le père Bishop est lui tout excité par des corps dépecés et c’est carrément l’euphorie quand il doit trouver un antidote en compagnie de son nouvel ami, un espèce de sous Stephen Hawking en fauteuil roulant.

Pas de déviances sexuelles pour Olivia. Elle est bien trop sérieuse pour ça. De toute manière, tous les hommes sont des porcs. A commencer par le futur ex mari de sa sœur. On ne l’a jamais vu mais on imagine déjà le portrait du parfait connard. C’est en tout cas l’image que s’en fait Peter. Et là je commence à en avoir raz le bol de la sister. Avant on la voyait dix secondes au début ou à la fin. Là elle vient carrément parasiter la vie professionnelle de l’agent Dunham. Pourquoi Olivia a t’elle besoin de sympathiser avec son patron ? Je vous demande l’intérêt, d’autant que Broyles a tout sauf l’air d’un bout en train super rigolo. C’est fait avec un peu d’humour quand Olivia sort à sa sœur l’excuse de la réunion sur le point de commencer. Oui, oui, une réunion ironise Charlie. A mon avis le job d’Olivia doit être un mystère comme le job de Chandler dans Friends. Elle a un travail au FBI mais sa sœur n’a aucune idée de ce que c’est.

En fait il vaut mieux l’ignorer car son travail n’a rien de passionnant. Une simple chasse à la femme aux dents pointues et un mari éploré de voir sa femme devenue un monstre. C’est un peu la Belle et la bête façon Fringe, nous montrant que l’amour pur et inconditionnel existe toujours. Il est prêt à mourir pour elle et fera le sacrifice ultime. C’est beau l’amour. ça aurait été encore plus beau si ça avait été une bonne histoire. Pour une histoire de dents pointues et d’amour, il faut aller sur HBO et regarder True blood. Pour sauver les meubles on relie cette créature des boites de nuit à ZFT. Les sous entendus sont de plus en plus gros. Quand le gars de ZFT regarde Bishop, c’est comme s’il avait vu le Messie. Normal qu’il meurt après. Maintenant il peut mourir heureux. Ok les mecs, on a compris que Walter était le grand gourou de ZFT sans le savoir.

Le cliffhanger ne nous annonce rien de bon car il nous ramène tout droit vers Massive dynamic et son big boss alias l’homme le plus riche de la planète. On va enfin voir son visage. Comme Olivia, il m’arrive d’avoir des flashs et ceux ci me disent que William Bell aime le fard à paupières. Je ne sais vous, mais l’idée de revoir Nina Sharp ne m’enchante pas.

Bilan : Un épisode à la fois moyen mais dans la moyenne de Fringe. Il n’est donc pas réellement mauvais pour la série mais elle continue de jouer au yoyo et c’est particulièrement frustrant car on sait que la série peut être capable de bien mieux.


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