- Des médicaments à base d’aspirine et de paracétamol contre la douleur et la fièvre.
- Des compresses stériles plutôt que du coton hydrophile, qui laisse dans la plaie des fibres gênant la cicatrisation.
- Une bande auto-adhésive pour maintenir les pansements compressifs sans coller à la peau (Adheban ou Coheban) ou, éventuellement, un filet de maille à enfiler comme une chaussette (Surgifix).
- Un pansement gras à appliquer sur les brûlures et les plaies superficielles (tulle gras).
- Une pommade apaisante contre les brûlures et les coups de soleil à base d’eau purifiée (Biafine®) ou de calendula (Homéoplasmine®).
- Une solution antiseptique : ce type de produit ne se garde généralement pas longtemps après ouverture. Il ne sert donc à rien d’accumuler les flacons. Evitez aussi l’alcool, qui pique et risque de creuser les plaies. Les solutions colorées (Bétadine®, éosine…) sont de bons désinfectants, mais elles ont l’inconvénient de gêner la surveillance des blessures. Optez plutôt pour des produits incolores, notamment sur les lésions profondes (soluté de Dakin, Hexomédine®, Cétavlon®…).
- Du sparadrap et des pansements microaérés.
- Une pince à épiler ou, mieux, à échardes.
- Une crème ou un gel anti-inflammatoire en cas de foulure (Arnicagel®, Cliptol® au menthol et à l’ibuprofène…).