Travis Moen
Travis Moen est un fermier. Dès que la saison de hockey se termine, il va aussitôt à sa ferme familiale en Saskatchewan afin d'aller y travailler. Pour travailler, il travaille! Il commence ses journées à partir de 6 heures du matin et les termine en fin d'après-midi. Ensuite, il prend 2 heures dans sa soirée pour aller s'entraîner en prévision pour la prochaine saison. Ce qui est intéressant c'est qu'il ressent toujours une responsabilité envers sa famille et il n'a pas peur de travailler comme un chien toute la journée. Contrairement aux autres joueurs typiques de hockey, il ne dépense pas ses millions à jouer au golf car il n'aime pas le golf! Également, un autre fait amusant, lors d'une soirée où il avait en charge la coupe Stanley qu'il avait gagné, il insistait afin de la nettoyer car lui et sa famille s'en servaient afin d'y mettre leurs côtes levées lors d'un souper dans un restaurant local.
Brian Gionta
Voici un extrait du "NHL's Stanley Cup journal" au sujet de Brian Gionta :
Citation:
« Then, Brian snuck away with the Stanley Cup for a few minutes. He took the trophy up to his old room, still adorned with his childhood awards and trophies. "This is what every kid thinks about when he's playing," whispered Gionta. "I can't tell you how many times I've carried the Cup in my dreams." Had all the hard work paid off for the second year Devil? By watching Brian, his eyes closed and a slight smile tracing his lips as he held the Stanley Cup, you didn't need to wait for the answer. It was obvious. »
En fait, il rêvait souvent de soulever la coupe Stanley et le fait de la voir à côté de tous ses trophées qu'il avait gagnés étant plus jeune, le comblait totalement! Tout comme Moen, lui aussi durant l'été ne fait pas comme tous les joueurs de hockey. En effet, il travaille à chaque été à la quincaillerie de son père. De plus, niveau "leader", il a déjà été capitaine de son équipe au collège. Lou Lamoriello a que de bons mots à son sujet, surtout pourquoi sa stature n'était pas un obstacle quand ils ont décidés de le repêcher : "you can't measure the size of his heart, we'd rather find out he couldn't play in the NHL than let someone else find out he could."
Hal Gill
Étant déjà été un et un , il était difficile de trouver quelque chose de positif! Par contre, il a beaucoup le sens de l'humour. Une fois, il portait une genre de grosse couverture avec des bras un peu honteux et se promenait avec dans le vestiaire sans se soucier sur ce que les autres pensaient de lui! Un exemple qui démontre qu'il suit sa propre route même s'il se fait insulter amicalement par ses coéquipiers. En effet, beaucoup de ses coéquipiers le trouve très amusant! Il a également la réplique facile pour faire rire tout le monde!
Jaroslav Spacek
Avant, il était du genre à aller sortir en ville pour aller boire de la bière plus qu'il serait supposé... Par contre, le fait d'avoir des enfants lui a changé la vie! En effet, maintenant, à chaque retour d'un voyage à l'étranger, il est impatient à l'idée qu'il va retourner à la maison avec sa famille. De plus, dorénavant, il préfère de loin passer ses vendredi soirs avec ses enfants plutôt que ses amis! Bref, il est un gars de famille, qui a connu l'étape des partys et qui s'est bien resaisi par la suite.
Paul Mara
Un peu comme Gill, il est le genre de joueur qui va toujours garder ses coéquipiers relaxes. Il ne se taie jamais sur la glace et il est un gars du genre "cheerleader" pour l'équipe! Il y a entre autre ce vidéo qui en démontre beaucoup sur lui : YouTube - Paul Mara (12/23/0 . Autre fait amusant à son sujet, il est du style à chanter des chansons de Noël sur la glace et du style à siffler sur l'avantage numérique. Également, c'est aussi le genre de personne qui va aller sortir en ville pour aller lui-même acheter un gâteau de fête pour l'entraîneur de l'équipe et s'arranger pour que tous les joueurs du vestiaire lui chante "Joyeux Anniversaire!"
Scott Gomez
Lui aussi a le sens de l'humour. Il passe tous ses étés à pêcher à la maison en Alaska. Il prend également sérieusement son rôle de modèle pour les enfants latino-américains comme lui. Par exemple, il prend le temps de répondre personnelement à chacun des enfants qui lui écrit. Fait amusant lors de son premier camp d'entraînement dans la , il appelait tous les vétérans de l'équipe par leur nom de famille : Mr Brodeur, Mr Stevens, etc. Ainsi, il s'est fait donné le surnom de Mr Poli par ses coéquipiers tout en se faisant niaiser par eux mais de façon respectueuse évidemment.
Mike Cammalleri
Tout d'abord, voici un extrait des opinions de l'entraîneur Red Berenson du Collège Michigan où Mike Cammalleri a joué en 2000 :
Citation:
"Every shift he's dangerous with the puck," Berenson said. "He's strong on his feet, creative and scores big goals in big games."
Not only did he use his crafty puckhandling to make opposing defensemen look silly, he also unselfishly did the little things that Berenson says make a player great.
"If you can ask your best players to do everything that everyone else is supposed to do, including backchecking and blocking shots - Cammalleri has no problem with that and goes into it headfirst."
Il ne fait que le vanter comme joueur mais entre autre, il dit que si tu peux demander à tes meilleurs joueurs de faire tout ce que les autres peuvent faire incluant des mises en échecs et de bloquer des tirs, et bien Mike n'a aucun problème avec ça et il va y aller tête première! Son entraîneur l'a assez aimé pour lui décerné un "A" sur son chandail, chose rare pour cet entraîneur. Cammalleri a également prouvé qu'il méritait son "A" quand son équipe avait de la misère en 2001 en admettant publiquement que leur façon de jouer était inacceptable et a pris la responsabilité d'être le "leader" afin d'être l'exemple à suivre pour ses coéquipiers, ce qu'il a très bien réussi en ammassant 61 points en 42 parties. Une chose remarquable de sa part est son abilité à faire des choix difficiles et de les suivre jusqu'au bout. Il ne lâche jamais! Par exemple, quand il a décidé de terminé son secondaire en seulement 3 années au lieu de 4 années pour rentrer le plus tôt possible au collège afin d'avancer dans sa carrière de hockeyeur. Voici un vieil extrait d'un article du journal du collège Michigan :
Citation:
"He took extra courses, night classes, and three straight summers of school in order to graduate high school in three years - making him eligible to play for Michigan this past season.
This didn't come without a price, however. His nonstop schedule of hockey and classes wasn't the life of a normal teenager, which caused Cammalleri to do some soul-searching.
"I had 11 classes on the go at one time," Cammalleri said. "I remember one night not being able to go to sleep because I was so stressed out. I thought to myself that it wasn't worth it."
After discussing with his father in a late night chat the thought of waiting one more year, Cammalleri made the decision to not back down from the challenge and stuck with it.
"You've got to prioritize," Cammalleri said."
En résumé, il prenait des cours supplémentaires, des cours de soirs, des sessions d'été afin d'être éligible le plus tôt possible pour le collège tout en continuant de jouer au hockey. Et même, il a déjà eu 11 cours en même temps! Un moment donné, il a eu une discussion avec son père au sujet s'il était vraiment mieux d'attendre une année au lieu de tout précipiter. Mike Cammalleri a finalement décidé de ne pas abandonner le défi qu'il s'était lancé. En tout cas, peu importe les situations, c'est un gars qui ne lâche pas!
Source : CHFANS
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