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moi et n'importe quoi, euh non, n'importe quoi et moi

Publié le 12 juillet 2009 par Desfraises
moi et n'importe quoi, euh non, n'importe quoi et moiTesté ma nouvelle imprimante multifonctions pas chère avec n'importe quoi
Twitpic, c'est un mini site de stockage, un album photos en somme. Une extension de Twitter. J'y ai posté quelques photos. De moi, notamment. N'en déplaise à certain(e)s, ici, c'est moi et les autres, les autres et moi, les autres sans moi, les autres quoi. Et parfois moi. Bon, OK, j'avoue, souvent. Donc, en cliquant sur ce lien, vous pourrez découvrir quelques méfaits pour lesquels je plaide coupable. Pour la publicité. Parce qu'il faut bien remplir le frigo. Pour Mc Do (oui, je l'avoue sans honte, j'ai prêté ma pomme aux fournisseurs de hamburgers), j'avais encore des cheveux, c'était un 4/3 que certains ont pu voir tout un été sur les panneaux de France et de Navarre. Et ceux (et celles) qui ne pouvaient pas m'encadrer regardaient ailleurs si j'y étais. Et j'y étais. Lors de la séance photo, la vedette (les hamburgers, une centaine) était en retard. Leur maquilleur triturait ses petits pinceaux, ses seringues à ketchup et à moutarde. On s'agitait. On brassait de l'air, surtout. C'est un secret pour personne, publicité = mensonge. Et j'ai menti moi aussi. La preuve? La photo pour Hell'o met en scène un jeune (faux) papa (le sourire crispé parce qu'il se demande ce qu'il a fait au bon Dieu pour qu'on lui mette une enfant dans son giron). Celle pour le magazine Capital exhibe des supporters transis (j'abhorre le football). Ou ma prestation pour M6 Boutique, vantant les mérites d'un produit que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam. Ou encore les vêtements qu'on épinglait parce qu'ils étaient trop grands. La belle chemise hiver transformée en chemisette (un coup de ciseaux et hop! fini les manches longues!)
maj 9/07
A la demande générale (Lena et Chantilly) : voici quelques autres visuels. Et les liens directs car Twitpic n'est pas franchement pratique pour faire défiler les clichés (l'astuce : cliquer sur "home") :
pour ADP (2001), les crapules n'ont jamais payé l'utilisation de la photo; suis tombé dessus par hasard en accompagnant une amie à l'aéroport;
pour La Poste, tracts et affiches réutilisés sans me prévenir et donc sans payer. C'est la règle du si-ça-passe! "Vous savez, m'a-t-on rétorqué à l'époque, La Poste n'est pas responsable des tracts qui auraient été mis en place dans un petit village au fin fond de la Creuse." (Sympa pour les Creusois!) "Rassurez-moi, ai-je répondu, vous ne me prendriez pas pour un con, par hasard? Les affiches dans les bureaux du 15e arrondissement à Paris, ou à Lille ou encore à Bordeaux, elles aussi ont été posées par mégarde?";
pour Kléber, premier casting, premier boulot = la chance du débutant; visuel jamais exploité;
pour Pricewaterhousecoopers;
et d'autres choses égarées ;-)
Pour finir et sans aucun rapport avec la choucroute, une photo avec mon amie Isabelle, à Montmartre, puis une autre (en souvenir de ma prestation pour une scène au Cours Périmony : l'amant sous la table, c'était moi).

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