Même François Bon prend parfois des vacances : cela ne dure pas très longtemps, certes, mais cela lui arrive. Non, évidemment, cela ne dure pas longtemps et moins encore qu'il lui suffit de tomber nez à nez avec un gisant d'Aliènor d'Aquitaine pour que la perplexité et l'amusement le gagnent.
Car ce gisant lit. Et depuis plus de 800 ans. Un même ouvrage, dans la nef de Fontevraud. Cela donne l'occasion à notre romancier de quelques clichés, mais surtout d'une réflexion :
« Est-ce que ce n'est pas cette part symbolique qui donne un tel exhaussement à nos discussions sur le numérique ? »
À voir, à cette adresse.