Dans le cas de Thierry Jonquet, l'homme explique l'écrivain qu'il était devenu. Militant de gauche, et même d'extrême-gauche, il s'était frotté à toute la misère du monde, en particulier dans les hôpitaux. Il en avait nourri une sorte de rage froide qu'il exprimait dans ses romans noirs - très noirs.
On lira par exemple, et pour ouvrir les yeux sur la face sombre de la société, Mémoire en cage, Ad vitam aeternam ou La vie de ma mère! Ou à peu près n'importe quel autre, qui vous donnera de toute manière envie d'aller plus loin.