Reprise de la Ligue 1. Premier match de la saison et le PSG qui se fait rattraper par Montpellier dans les dix dernières secondes. Pas au niveau de leur chef d'oeuvre du 7 mars 2001 contre La Corogne (défaite 4-3 alors qu'ils menaient 3-0), mais signe de la persistance du tragi-comique dont on ne semble pas se lasser du côté de ce club (à moins que ce ne soit aussi une façon pour les Montpelliérains de se rappeler au bon souvenir du nouvel entraîneur parisien Antoine Kombouaré, lui qui fut le buteur du miracle, c'est-à-dire de la victoire contre le Real à la 96e minute).
Indice supplémentaire ? Je me demande si cette peur de gagner inscrite presque génétiquement dans la psyché du club parisien n'était pas déjà perceptible sur les murs de la capitale, ces derniers jours :